Actuellement sous le tir nourri des snipers de la presse, Gégé n’a jamais eu froid aux yeux dans ses diverses apparitions à l’écran. Comme quoi, il n’a pas attendu la bombinette Nikita Bellucci pour s’intéresser aux courbes féminines.
Depardieu s’est toujours intéressé aux choses de la vie. Ce n’est donc pas un hasard si, débarqué à l’improviste lors d’un tournage sexy de l’émission Paris Dernière, il est tombé sous le charme de Nikita Bellucci. Cette vidéo de simili-drague avinée est disponible dans cet article, dans lequel on avait aussi dressé un panorama succinct de l’actualité récente de la belle.
Pour en revenir à l’acteur de Vatel (196 rôles tout de même, selon IMDb), il est bon de rappeler qu’il s’est toujours avéré décontracté du slibard. La preuve par trois.
1) Dans Les valseuses (1974) de Bertrand Blier, odyssée libertaire de deux jeunes anars aux penchants criminels, il s’oppose à l’ordre bourgeois, s’expose souvent dans le plus simple appareil, fait les 400 coups avec son pote Patrick Dewaere (paix à son âme) et les deux compères baisent la très désirable Miou-Miou. LE film culte par excellence. Mention spéciale à la scène où Jean-Claude (Depardieu) succombe à ses tendances homosexuelles et fait des avances à son pote Pierrot (Dewaere). Mais ce film recèle quantité de séquences passées à la postérité (Brigitte Fossey assaillie dans le train par le duo infernal - Pierrot lui tétant vigoureusement ses seins gracieusement galbés, etc.) et j’aurais pu en citer des tas d’autres.
Patrick Dewaere, Miou-Miou et Gérard Depardieu dans Les valseuses
2) Gérard Depardieu prouve sa vigueur érectile dans La dernière femme (1976) de Marco Ferreri, qui écopa d’un classement X. Il faut dire que Gégé - complètement à oilpé - y enlace une Ornella Muti toute juvénile et à la nudité troublante. Il n’en faut pas plus pour que sa mollesse de départ fasse place à une rigidité qui fait plaisir à voir. En même temps, qui ne serait pas au garde-à-vous face à une telle partenaire ?
Gérard Depardieu et Ornella Muti dans La dernière femme
3) 1900 (1976) du grand Bernardo Bertolucci (Le dernier Tango à Paris) est d’un tout autre ordre, plongeant ses acteurs principaux (De Niro/Depardieu, excusez du peu) dans les prémisses du Fascisme, situant son intrigue en Italie (de 1900 à 1945). On y remarque une étonnante scène de branlette, les deux lascars précités, allongés sur un lit, se faisant entreprendre le membre par une même nana (la belle Stefania Casini). Des plans tournés sans doublures et restés dans toutes les mémoires.
Robert De Niro et Gérard Depardieu, branlottés par Stefania Casini dans 1900